Le Monde en tête, la collection Antoine de Galbert

Un voyage autour du monde en 300 coiffes

Depuis des millénaires, l’humanité entière pose sur sa tête toutes sortes de couvre-chefs. Au gré d’une trentaine d’années de recherches, le collectionneur français Antoine de Galbert a réuni des centaines de coiffes et parures de tête d’une remarquable beauté et d’une diversité inouïe, qui sont conservées, depuis 2017, au musée des confluences de Lyon, en France. L’exposition Le Monde en tête, la collection Antoine de Galbert en présente plus de 300 provenant d’Afrique, d’Asie, d’Océanie et des Amériques. Embarquez dans un tour du monde à la rencontre de celles et ceux qui les ont portées!

À chaque coiffe son histoire

Objets du quotidien ou des grandes occasions, les coiffes présentées dans l’exposition répondent à plusieurs nécessités : utilitaires, sociales, identitaires ou symboliques. Bien qu’elles jouent un rôle de protection physique, elles se font parfois magiques et protègent du monde invisible. Chapeaux, diadèmes, bonnets, casques, couronnes, turbans ... nous mettent au contact de plus de 200 peuples. Anciens ou récents, ces accessoires livrent de multiples indices sur leurs propriétaires, leur identité, leurs rites et leurs croyances... Découvrez leurs histoires en suivant un parcours thématique ponctué d’images et de vidéos d’archives, de projections et d’interactifs. Une véritable fenêtre sur la diversité des cultures du monde!

Un monde de découvertes

Dans une ambiance enveloppante, admirez la multitude de couleurs, l’exubérance des formes et la richesse des matériaux qui composent les coiffes. Fait de tissus et de plumes, de bois et de terre, de cheveux, de métaux, de perles et de pierres précieuses, chaque couvre-chef témoigne du savoir-faire exceptionnel et de la créativité des artisans qui les ont confectionnés. Véritables œuvres d’art, ces pièces d’une grande finesse invitent à un voyage tant esthétique qu’intérieur. Nous renvoyant aux mille et une raisons pour lesquelles nous nous couvrons la tête depuis la nuit des temps, l'exposition nous interroge sur ce qui fait l’universalité du genre humain.